Pour quoi, pour qui ?
Nous sommes généralement pris dans nos habitudes. Notre vie de famille, notre travail nous laissent peu de temps pour un retour à soi. Le rythme de notre quotidien s’accélère et nous courrons bien souvent après la résolution de problèmes. Notre existence peut prendre une couleur terne ou bien désagréable. Quand le faire devient une contrainte, nous aspirons soit à nous mettre en mode de procrastination, soit à ne plus avoir envie de bouger. La dépression, le stress ou la déconnexion avec nous-même nous éloignent peu à peu de notre nature profonde, de nos envies et de nos rêves.
La prise de conscience
Il faut parfois un accident, un choc, une situation extrême comme le confinement ou bien une dépression pour réaliser que notre vie nous échappe. C’est ce moment dans lequel nous commençons à nous poser les bonnes questions : de quelle façon puis-je opérer un changement chez moi, suis-je à ma bonne place, où sont passés mes rêves d’enfant ? La voie de l’art peut devenir un passage. Elle peut de nouveau nous offrir à travers la créativité de l’autre un retour à soi, nous donner la possibilité de nous donner la sensation d’exister, elle peut faire de nouveau éclore notre sensorialité. Lorsque notre mode perceptif s’affine, notre ouverture au monde de précise, notre regard sort de ses projections.
Quelles voies ?
Il existe de nombreuses possibilités de s’éveiller à soi, avec l’art bien sûr, mais aussi la méditation, le yoga, ou toutes autres pratiques énergétiques. J’ai pour ma part choisi 3 chemins pour enfin laisser surgir de moi ma créativité, ma vibration d’être au monde : le wutao, l’art de la trans-analyse et enfin la contemplation.
Dans cette rubrique je vous témoigne de mon propre cheminement, celui de ma résilience, celui de ma transformation et enfin celui de mon accomplissement. Parce que nous le méritons bien et que nous pouvons tous avoir un rôle actif pour le monde que nous rêvons. Chacun de nous peut à sa façon cheminer pour enfin oser se déployer.
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